Les mots sont sons
Ainsi font sons l'émotion
Une certaine forme de poésie
Grace à ce recueil....
Si je n’ai fait naître
ne serait-ce qu’un demi-sourire
et éviter
ne serait-ce qu’un demi-soupir,
grâce à mes jeux de mots à 2,36 balles
(TVA 18.6% incluse),
vous m’en verriez ravi ...
... puissent toujours les mots
engendrer l’émotion !
pedro blerinel
« Les mots sont comme des mains
Qui vont du cœur au corps
Les mains sont comme des mots
Qui vont du corps au cœur ... »
André Bonhomme
Les mots …
Peut-on jouer avec les mots ?
Ou plutôt se jouer des mots ?
Les mots ne seraient-ils pas un exutoire de tous nos maux ?
Les mots, il y en a des gros, il y en a des doux
Si l’on guérit le mal par le mal, au pluriel cela pourrait donner :
On guérit les maux par les mots
Les mots sont lumière, point n’est besoin de chandelle pour en écrire…
Les paroles s’envolent, restent les mots
Juste un petit
Un mot d’amour
Que d’émotion !
Même fléchés
Les mots, il y en a aussi des bons
Les mots se croisent
Les mots s’échangent
Il y en a aussi des gentils
Face à la morosité il reste possible de jouer avec…
Faire naître un sourire, …même à moitié, à demi-mot
En un mot, celui de la fin :
Ne jamais accuser personne de tous les mots !
un pessimisme joyeux ... ... ou les cadeaux de la vie
C’est la supplique de la vieillesse
A écouter avec tendresse
Avant que chair, trop ne s’affaisse
Ce qu’on prétend être « sagesse »
Mieux vaut en rire que de pleurer
Ou quelque peu s’apitoyer
Rester un pessimiste joyeux
Et du bonheur pas trop peureux
En recalé de la jeunesse
Et nominé pour la vieillesse
Je veux bannir toute tristesse
Et que jamais la joie ne cesse
Le vent, très fort, peut souffler
Il finit toujours par tomber
Il faut les tracas tempérer
Et ne jamais désespérer
C’est le bonheur que l’on tresse,
L’orange des plaisirs que l’on presse
Qui servent à gommer le mot stress
Pour n’engendrer que des caresses
Si corps, trop souvent, ne paressent
N’ayant que mémoire de souplesse
Il ne faut pas qu’ils ne paraissent
Vouloir offrir trop de promesses
Si l’avenir traine derrière
Que l’à venir reste lumière
Aveuglant les petites misères
Illuminant ce qu’on espère
Il est grand temps que je vous laisse
Il ne faut pas que je vous lasse
C’est gagné, c’est promis, j’me casse
Buvant verveine, tremblant d’la tasse.
©pedro blerinel
Quelques exemples illustrés :
Les portables sont insupportables
Surtout quand on est à table
Et tant sur les nerfs ils me portent
Que je veux les mettre à la porte
Ou les déporter dans un port
Mais c’est là dans ces fameux ports
Que tous les portables on importe
Ce qui m’est très insupportable
C’est sur leur disparition que je table
Et voudrais crier « à la porte »
Mais hélas ma voix point ne porte
Qu’un porte voix l’on m’apporte
Pour crier à l’insu du port
« Des portables faisons table rase
Car c’est à table qu’ils me rasent
Qu’ils disparaissent à jamais
Des tableaux d’honneur c’est parfait
Et de toute table des matières
Comme une entrée en matière »
Mais déjà on me crie « à table !»
Et tout en me portant à table ...
Que j’espère sans aucun portable
Et encore moins de porc à table
Je rêve aux mets délectables
Sans aucun engin regrettable.
Road movie
Road movie
La fée d'hiver
Remember
Saint Tropez … Saint Allère, priez pour nous!
Adieu de la grenouille … Je croasse "adieu"
Fécondation in vitrail … Jésus crie
Les ghettos nous guettent
Ni Dieu ni CAC 40
Cacophonie
Comme dirait Momo
je reprendrais bien un peu de tes serres
Date de dernière mise à jour : 26/12/2020